Mercredi dernier, les patronnes et patrons de boîtes de nuit se sont retrouvé.e.s place de la Mairie pour protester contre leur situation compliquée. Depuis le 15 mars, les lumières des établissements de nuit se sont éteintes.
En signe de contestation, les gérantes et gérants, toutes et tous vétu·e·s de noir, ont posé debout, en silence, pendent près d’une heure. Un silence que semble familier au gouvernement tant par son manque de réponse que par son manque de moyen. Ironie de l’histoire, c’est l’homonyme viral de l’artiste Corona qui a fait taire le rythme de la nuit…
Un reportage signé Paul Le Guen
Image : Jim Reilly